Ce site permet de donner plus de détails sur mon livre » Et si » et les autres à venir…
N’hésitez pas à me faire parvenir vos questions et réflexions. Je ferai aussi part ici de toutes les informations et manifestations qui seront une bonne occasion de nous rencontrer, lors de lectures ou salons par exemple … à très vite!
Il me faut un peu de temps et d’expérience pour maîtriser ce site et les différentes techniques qui permettent de le développer. Cela est très au de là de mes compétences… Mais j’apprend vite!

Quatre Pieds:
La situation se passe à Lille, proche de la place où se dresse la colonne de la déesse. Sur le côté, là-même où est pris cette photos. Là-où vous pourrez boire un verre en terrasse. A cet endroit se trouve dans mon histoire les deux protagonistes. On peut les imaginer soit au Café Leffe, ou encore sur la Brasserie « La Chicorée ». Pour ma part je préfère dire que c’est à l’entrée de la terrasse du Leffe, et bien évidement si nous suivons l’histoire, juste à l’entrée.

Cette histoire est né d’un souvenir, en effet ces terrasses ont été un lieux de rencontres avec mes amis, au temps où j’ai travaillé sur Lille. Un lieu important pour les Lillois, car dès que le soleil se pointe, vous pouvez être sûre qu’en milieu de matinée les terrasses ici sont quasi pleines ; et que vous devrez batailler ou patienter un long moment pour avoir une place en pleine après-midi. » C’est le Noooord » si on reprend la fameuse phrase de Michel Galabru dans « Bienvenue chez les Ch’ti! ». Mon grand souvenir sur ces mêmes terrasses, c’est la coupe du monde 1998, que j’ai fêté avec ces mêmes amis, à cet endroit, une fête incroyable où nous chantions toutes tables confondues les mêmes refrains et chansons, chacun notre tour nous proposions un titre … pour l’un Bachelet et les Coron, pour l’autre le Carnaval de Dunkerque, ensuite le petit quinquin et ainsi de suite … une poilade formidable arrosée de délicieuses bières à profusion évidemment!!
De cet endroit et de ces personnages très originaux disons ; je n’avais pourtant pas grand chose, et c’est souvent le cas de mes histoires … Alors je me met à écrire, à les faire vivre et leur faire dire au départ ce qui me passe par la tête … Bien sûre parfois cela ne mène à rien et il faut supprimer des passages, mais la trame prend souvent vite forme et … l’idée fait son chemin, c’est le cas de le dire pour cette histoire !
CHEVEUX D’OR :
Cette histoire se passe sur la place d’Arras, ville où je suis né. Son inspiration est bien arrivé là-bas et plus exactement dans le centre commerciale qui est pour moi un souvenir important, car je l’ai vu se développer. A l’origine c’était un hypermarché Mammouth, très connu dans les année 70. Puis il y a eu la construction du centre commercial, juste à côté.
Pour les besoin de mon diplôme BNSSA, je suis revenu sur une formation à Arras, qui s’est d’ailleurs fort bien passé. Un après-midi, il me fallait aller chez le coiffeur, j’étais plutôt cheveux court à l’époque! Comme je n’avais pas le temps d’aller chez mon coiffeur habituel, je suis tombé-là. Hésitant à entrer, par peur d’être mal coupé, je regarde par la vitrine et la femme était pour le coup aussi jolie, mais je me suis vite dit que mon attitude pouvait être mal interprété, donc je suis entré… Sur la route du retour, j’ai imaginé une nouvelle …

C’est une des premières nouvelles que j’ai écrite. Au départ, elle avait juste un récit qui ressemblait plus au film « l’homme et la coiffeuse » avec Jean Rochefort qu’à ce qu’elle est aujourd’hui, plus imaginatif. Ces personnages fictifs ont été ajouté après, lorsque je l’ai reprise pour mon livre, elle manquait d’intensité… était trop sage… trop fluide. De là est apparu le bel Italien et le lézard!
TROIS TEMPS :
Ici je met en avant les retraités, la fin de vie, les projets et les déceptions. Je met en avant les maisons de retraite qui sont souvent synonyme d’oublis alors qu’elles sont importantes, car déjà tout le monde a la probabilité d’y passer, mais surtout on devrait s’y inviter plus souvent. L’histoire se passe proche de Saint Quentin, Proche de Roupy.
La maison de retraite n’existe pas, je prend ce titre face à la troisième vie d’une vie. et je m’inspire de l’idée qu’on se fait d’une maison de retraite. Les personnages sont totalement fictifs, mais on l’importance d’une amitié qui se lis au fil de temps passé à vivre ensemble.
Jeanne et les deux retraités sont fictifs tout autant. Mais le final se veut pour moi sincère de la part de Jeanne, je ne peux pas en dévoiler plus, mais elle ne recherche pas absolument à ce que Henry finisse son assiette. Enfin, après c’est à chacun d’interpréter les choses à sa manière, tout comme Long Long Cou.
TIOT CHEF
à Germaine… à quelques kilomètres de Saint Quentin dans l’Aisne, là où je vis depuis plus de dix ans. J’ai découvert ce lieu durant une ballade à vélos dont je suis friand pour découvrir toute la campagne aux alentours. Et je suis attaché à Germaine car c’est un petit village qui me fait non seulement penser à Saint Quentin dans le Pas de Calais près d’Air sur la Lys, mais aussi à ma Grand Mère Germaine qui habitait là-bas. Aujourd’hui c’est mon plus vieux cousin Claude qui habite dans cette maison qui représente beaucoup pour notre grande famille qui se réunissait au moins une fois chaque année.


Cette histoires est attaché à mon passé de restaurateur et aussi mes origines Ch’ti, Je voulais aussi qu’elle soit comme une pause, une tranche de vie rien d’autre sans vraiment de rebondissement ou de chute pétaradante, je la veut simple et qui porte à réflexion son seul vrai point qu’ils ont tous en commun je pense.
D’ici peu je vais mettre la traduction de toute les phrases en Ch’ti d’Elise vous en faite pas!
Là c’est la passion qui peut mener à sacrifier sa vie à son domaine, son métier ici en l’occurrence.
Le langage Ch’ti:
Je suis très sensible à ce patois si particulier, pleine de chaleur et de dynamisme. Réellement, son dialecte a pratiquement disparu sauf dans certaine endroit en particulier le milieu du Pas de Calais, autour de Lens, de Arras, où vers Aire sur la Lys aussi. Pour le Nord, vous aurez plus de mal à tomber sur une personne qui le parle naturellement, sauf peut être vers les extrémité autour de Dunkerque ou Maroilles/Hirson.
Elise est une chef native du Nord, dans un village au fin fond de cette région, dans les corons comme Bruay Labuissière ( là où mon papi tenait un magasin, d’ailleurs à l’arrière s’est tourné une scène mythique de « Bienvenue chez les ch’ti!!). Elle tombe amoureuse des paysage de Germaine ( nom de ma grand mère du côté de ma mère ) et garde un dialecte de son patois, sans trop parler. Elle est timide, balbutie si on lui demande quelque chose et son moyen pour se protéger s’est d’être un peu virulente, tout en utilisant des dictons de chez elle pour parfaire son caractère et cacher son grand cœur et peu être un peu aussi son autorité.
Voici ci dessous les traductions de ses dictons :
A m’mot : à mon avis.
Arrêtez vot’carpin : (ou dalage) remue ménage. Quand il y a trop de bruit.
On va pas maloter : discuter.
LONG LONG COU:
Cette écriture est arrivé dans un moment d’angoisse terrible, après une petite crise où je me demandais de quoi sera fait le lendemain. Et aussi d’un souvenir de théâtre télévisé avec Jean Gionno et son fameux « en attendant godo » , et mon frère adolescent avait eu à aller le voir pour l’école… je me demandais si ce genre un peu perché pouvait m’aller… du coup, cela a donné ça!
Je me suis inspiré d’une véritable crise, où j’explosais, et j’ai aussi pensé à un cadre existant. de là, j’ai pris « ma plume » et j’ai écris ce texte sans savoir quelle chute elle aurait !
Car ce cadre existe, est bien dans mes propres toilettes! c’est dans ces mêmes toilettes que j’y ai trouvé un jour l’inspiration. L’idée ne m’a plus lâchée. J’ai écris comme souvent sans savoir où cela m’emmènerait, mais l’idée de base était posé.


C’est une réflexion sur les intérêts parfois cachés sous un couple et le désir d’enfant. Je pense que faire un enfant est une responsabilité qui ne doit être négliger ni d’un côté et ni de l’autre. Et ceux bien plus que l’histoire d’une pension!! Je crois que du simple fait des booms des divorces, le phénomène suivant pourrait bien être le désir purement et simplement d’enfant sans la complexité du couple lui-même. Alors que plus que le couple on parle aussi d’un cadre familiale pour l’enfant.
Nous en sommes où avec les produits à une seule utilisation, les produits à obsolescence programmés, comment ne pas penser à l’amour – prend-t-il le même chemin? Si nous n’avions pas une conscience ne serions-nous pas en phase avec l’influence, ou l’influence n’est-il pas en train de nous dominer ? … Devons-nous nous laisser faire, laisser tout faire sans broncher, nous laisser guider?… n’y a-t-il pas autre chose que nous-seul en amour qui compte … Le futur et la progéniture? Ne va-t-elle pas en souffrir et s’il est déjà trop tard n’en souffre-t-elle pas déjà-assez?… pensez-vous? Pensez-vous y penser? Pouvez-vous y penser? Alors pensez-y – Tout de même. Car tout de même attention.
COTE A COTE :
imaginer mon départ, bien souvent j’y pense ! j’en ai écris cette histoire!
Douvres est le point de départ d’une traversée. L’histoire raconté là se passe donc là bas. Il doivent d’ailleurs depuis le COVID avoir fait un port bien plus grand et touristique, j’ai hâte d’y retourner … nager mais aussi y faire des courses! et même y manger! allez dans la rue piétonne au premier PUB je vous indiquerez le nom plus tard … vous serez totalement dépaysé! C’est génial j’adore !


Il faut avoir traversé pour connaître la sensation, jeune je suis partis seul en Angleterre pour rejoindre une famille anglaise qui m’attendais à Douvre. Puis je n’ai pas arrêté d’y aller souvent juste pour retrouver l’endroit et faire quelques courses le temps d’une journée. La rue commerçante agrandi aujourd’hui n’était pas grande, mais Canterburry en bus n’est pas loin et de Dunkerque l’arrivée se faisait sur Folkestone qui était déjà plus grand et touristique. Aujourd’hui Douvre a fait des travaux sur son port, mais je ne suis plus retourné encore depuis le COVID. Avant j’y aller même pour nager sur leur plage! Hate d’y retourner encore.